La plupart des hauts démons vivent a la cours de Satan, préférant frotté avec délice leur langue obséquieuse contre le cuir des bottes du roi des enfer. Mais il faut bien avouer que Lilith désirait placer la sienne un peu plus haut dans l'anatomie du seigneur. Ne se "satisfaisant" pas du rôle de simple courtisane la démone avait préféré s'éloigner de la forteresse volante, bâtissant son propre palais, fixe lui, dans les landes infernales. Sa demeure se trouve dans un profond cratère de verre volcanique d'un noir de jais. Un immense escalier descend jusqu'au centre de ce dernier, le fond du cratère rendu parfaitement plat par une immense plaque de marbre blanc veiné de rouge. Au centre de cette plaque se dresse la palais, faisait a peine de dixième de la forteresse satanique il reste énormément imposant. Semblant constitué de centaine d'écaille d'obsidienne formant un dôme a la fois gigantesque et gracieux, dont le sommet était orné d'une tourelle gracile dont le toit pointu dépassait du cratère, offrant une vue panoramique sur les landes. Voilà ce que tout un chacun pouvait apercevoir de palais de Lilith... enfin, s'il le trouvait. Un portail d'un noir de jais s'ouvrit a l'intérieur du palais, ce type de portail que seul les haut démon pouvait ouvrir pour accéder a leur propre demeure. La démone posa un pied nue sur l'herbe douce d'un vert délicat qui faisait office de sol, un ciel d'un bleu profond parcourut de nuage cotonneux la surmontait, elle se trouvait dans une grande plaine balayée par une brise tout aussi fraiche que fausse... tout cela l'était d'ailleurs, l'herbe, les fleurs, les arbres tout n'était qu'une fabrication de la démone, même le ciel n'était qu'une illusion... pourtant, elle ne se laissait pas de cette reproduction de l'Eden car, oui, c'était bien le mythique jardin des anges qui se trouvait là... a quelque détails près. Lilith avançait d'ailleurs vers le plus visible de ceux-ci, une maison, oui, au centre du jardin, en lieu et place de pommier, une grade maison de bois, a l'allure féérique et étrangement irréelle, elle ne respectait aucune lois architecturale, elle ne semblait soutenue par aucune fondations, il semblait impossible de suivre ses contour du regard, comme si son irréalité blessait l'œil tout en le couvrant de délice par la beauté du résultat. Au dessus se déployait les branche de l'arbre, orné de pomme d'un rouge appétissant elle restait hors de toute atteinte. Lilith approcha de la maison, elle ne comportait aucune porte, pourtant, quand la démone tendis la main, une poignée se forma a l'intérieur de celle ci, et quand elle tira dessus, une porte s'ouvrit. Lilith entra...
C'était l'intérieur d'un arbre, on ne retrouvait rien de la maison mis a part les douce ouverture des fenêtre qui dispersait de large rais de lumière dans la pièce... au centre de celle-ci se trouvait un ascenseur de verre, le reste de la pièce était presque vide, seule une vingtaine se statue de bois l'encerclait de leur garde impassible.
Lilith entrât dans la cage de verre qui montât sans aucun bruit. Au second étage, malgré une séparation d'à peine quelque centimètre de bois, se trouvait une profonde piscine creusé dans la chaire de l'arbre, parfaitement circulaire, l'eau s'adaptait au besoin de la démone comme si elle eut été vivante. Mais Lilith ne s'arrêta pas ici.
Le troisième étage contenait trois portail permanent, cerclé dans des anneau d'or et d'obsidienne il était pour l'instant fermés, seul un ordre de Lilith pourrait les ouvrir... même Satan ne pouvait pas briser un sceau aussi puissant, seul quelque démon avait un pouvoir assez fort pour effectuer une telle prouesse..
Le quatrième étage était celui où elle s'arrêta, elle n'avait pourtant actionner aucun levier et appuyé sur aucun bouton, encore une fois, la maison connaissait ses désirs, il fallait dire que la démone et la demeure avait fait connaissance d'il y a cela trop longtemps pour qu'aucun humains, et très peux d'immortel, ne s'en souvienne.
Cet étage était celui de sa chambre, un immense lit en occupais les deux tiers, il y avait aussi une large commode de bois noir mais elle semblait minuscule a côté de l'énorme lit en demi lune, couvert d'un matelas épais mais ferme dans le quelle la démone se jeta sa préavis, dérangeant totalement le drap de soie fine, d'un noir de jais. Elle crocheta un large oreiller et, sa plus de cérémonie, elle s'endormit immédiatement, son corps se retransforment très lentement pour retrouver sa forme originelle...
Sam 21 Mar - 13:43